Vivre un paradis l'espace d'un instant, puis sombré dans les profondeurs de l'esprit noir qui hante son corps, cela m'est presque devenu banal... S'apercevoir que ceux que l'on aime ne ressentent pas la meme chose vis a vis de vous, ca fai mal aussi, pire encore quand on se rend compte de l'inutilité que l'on a, et l'incapacité d'attirer l'attention de ceux que l'on voudrai.. ce n'est pas un plaisir de se sentir aimé mai pas comme on le voudrai. sentir que le monde autour de vous a compris dans les grandes lignes ce que vous essayez de dire, sans pourtant changer quoi que ce soit dans le cours des choses.. Partir dans ses reves pour essayer d'oublier sa vie quotidienne mais de se rendre compte que meme dans ce monde né de mon imagination je rencontre mes vieux fantomes... l'amour est une emotion traitresse, elle rend heureuse de face et rend triste de dos... Je sui las de me lamenter sur ce sort qu'est le mien, et j'espere du changement dans ma vie et celle du monde entier, l'arrivée de quelque etre, chose, evenement ou quoi que ce soit qui fasse que le monde change.
Je pense que le cycle etenel se renouvellle une fois de plus, celui de la banalité et de la continuité de la vie, une continuité monotone a mes yeux. je me sen de nouveau viieux dans un corps jeune, decalé dans le temps, mis a la mauvaise epoque, celle ou on ne peu plus esperer l'appartition d'un dieu quelconque, celle d'une divination. je me sens perdu et lassé. lassé de vous et de moi, du monde et de l'ireel, de ma vie et de mes reves, de mes pensées et des votres, de mes problemes et des votres, de ce qui est et de ce qui adviendra. Epuisé par les remous incessants de l'amitié changeante, de l'amour errant et de la haine reccurrente, je poursui helas le chemin, m'accrochant tant bien que mal a ce qui parait pour un semblant de vie, malgre le vide qu'elle est reelement. mes ecrits et mes paroles pourront blesser, je n'en aurai cure, le fait de les ecrire ici prouve que je les ai pensé.
Personne ne me comprend, je suis lassé d'etre le meme etre triste chaque jour de me contenter de me conforter dans ce shema ou je suis. Lassé de sentir le silence du ciel sur ma vie, de laisser chanter a mes oreilles le seul son du vent, et de laisser passer autour de moi des moments de joie. pourtant je ne sais comment etre autrement, j'aimerai sortir de cet etre pathetique que je suis, car je sais que je le suis, je suis un animal comme tout les hommes, commes vous tous. nous sommes seulement douté d'une intelligence plus perfectionnée au sens ou nou savons nous rendre malheureux, et triste. les animaux qui nous entourent peuvent etre heureux, notre difference est qu l'on se rend tristes.
Personne pour me conforter, me prendre dans ses bras, et ecarter de moi les noires pensées qui n,aissent de mon esprit, j'observe derriere ma prison de chair les effets que mes mots peuvent produire, je ne supporte plus d'etre cacher derriere cette paroi, cette coquille hideuse qui constitue mon corps. je suis en coler contre moi meme, et cette colere est la source de mes problemes, je pense. avant d'aimler les autres, il faudra que je m'aime moi meme. cela prendra du temps, et peut etre n'existe t il pas d'issues a mon probleme, mais je m'efforcerai d'etre plus attentif aux appels de la vie et a ceux des autres.
Caché derriere la frontiere de la chair,
se cache mon esprit,
il aimerai brisé la frontiere,
mais il ne sai comment le faire,
et il se demande aussi,
ce qui pourrait le satisfaire.
L'amour , l'amitié,
parmis les emotions il ne sait laquelle choisir,
il se sent faible et frustré,
il a peur de mal reagir et de blesser,
il passe son temps a fuire,
de peur de tout briser.
il se sent un peu perdu,
parmi les lumieres il se sent eteint,
parmi les amis, le seul inconnu,
il se cache alors au coins des rues,
essayant de retrouver les siens,
helas a jamais disparus.
J'ai beau esperer ,
je ne sais pas trop ou me situer,
l'etincelle qui fut créer,
est peut etre bien enterrer,
la flamme s'est peut etre consummée,
mais malgre tout je suis rester.
mon amour lui ma quitter,
je n'aspire plus a etre aimé,
tout cela m'est retirer,
j'ai perdu la seule qui m'eut apprecier.
je regrette tant,
et je m'en apercoit que maintenant.
les souvenirs joyeux s'effacent,
laissant place,
a cet etre grisatreque je suis,
l'etre perdu mais qui vit,
pour rien car il a perdu les siens,
du moins celle avec qui il etait bien
Ecrit par Lueur, le Mardi 23 Mars 2004, 22:13 dans la rubrique "Premiers Pas".