Sombre Lueur

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Voila merci.

Au dela de la pensée et de l'etendue,
Existe un royaume des plus etranges,
Celui du neant, du non-être et de l'inconnu,
Ou personne ne definit le demon et l'ange.

Les secondes ne se consumment plus,
Elles m'offrent une vision d'eternité,
Je perd la notion du temps, je n'en peut plus,
Mon coeur ardent est brisé...

Tant de mots cassants ,de propos odieux,
Qui se heurtent a moi de plein fouet,
et rongent mon vieux coeur amoureux ;
La musique, les couleurs se sont effacées.

Le Chagrin installe son emprise,
Les battements se font rares,presques oubliés,
La morsure de la fin me brise,
Dans le monde du néant je fais mon entrée.

"Que tout disparraisse, qu'il ne reste rien
 De cette vie menée en vain !
 Monde de fourbes, d'hypocrites et de traitres inavoués,
Tremblez devant la force des ténèbres reveillées !"

A travers chaque regard je cherche l'etincelle divine,
Celle qui au fond de tes sombres prunnelles s'est refugiée,
Laisse moi donc plonger dans la nuit de tes yeux, trouver la flamme divine,
Tellement envoutante, par sa chaleur, et son teint nacré.

Laisse moi donc parcourir le doux chemin de ta peau satinée,
Les songes m'ont averti que j'y trouverait quelque present,
Que les dieux dans leur oeuvre avait dissimulés,
Mais qui pour tout homme est resté inconnu jusqu'a maintenant.

J'aime a sentir contre moi ta chevelure et ta tete reposée,
La douce sensation d'etre aimé, le bohneur de l'amour,
Chaque pas en vavant te fait fremir, et tu hesite apeurée,
Ne me crain pas , apprenons ensembles chaque jour...

La Vie reprend cours dans mon coeur et dans mon esprit,
Je t'aime, Ta presence m'enchante, c'est ainsi... 

Pardonne moi,
Pour ce que je suis,
Pour ce que je fais,
Pour tout ce que je dit,
Pour ce qui me rend imparfait

Pardonne moi,
Pour ma sottise,
Pour le mal que je te fais,
Pour toutes les betises,
Pour ce qui en moi te deplait.

Pardonne moi,
Pour la tristesse qui m'habite,
Pour l'amour qui lui aussi me hante,
Pour mon regard que tu evite,
Pour toutes mes humeurs changeantes.

Pardonne moi encore une fois,
Pour Ma jalousie,
Pour ma paresse,
Pour tout ce que je fuis,
Pour mes maladresses.

Je te le demanderais des millions de fois s'il le faut,
Que tu accepte  de me parler a nouveau,
ton silence me fait  fondre en larmes,
Et il blesse au plus profond de mon ame. 

Je ne ris pas assez, tu me l'as dit,
Ce n'est pas juste des mots en l'air,
Et ils ne sont pas faits pour plaire,
Je suis trop souvent triste, c'est ma vie.

Autrefois nous etions amis, 
Juste amis, mais les liens etaient sérrés,
Tout deux nous avons hesités,
puis ensemble nous nous sommes mis.

Loin de m'attrister, ce fut pour moi l'aube d'un nouvel amour,
Et sous ma plume les mots se sont mis a defiler,
Pour que ma flamme soit devoiler,
Que ce microcosme dure toujours...

Helas, Les liens ont changés,
Non en mal, mais plus fort et plus solides,
helas pour nos echanges autrefois intrepides,
Pour Ce qui nous donnait avant une amitié.

Je suis peut etre trop possessif, trop borné,
Mais j'ai compris , tu m'as expliqué,
Et de mes maux ce ne sont plus les mots clés,
Je peine dans ma vie, tout mes reperes ont changés.

Je ne lance pas d'appel au desespoir,
Et je ne te demande pas de me croire,
Tout ceci ne sont pas de belles paroles,
juste une tentative de stopper ton envol.

Je ne veux pas que tu me laisse,
Je tiens a toi, que tu m'aime ou que tu me blesse,
pardonne moi mes defaults,
Surtout celui de ne pas etre toujours "rigolo"

Chaque instant avec toi est trop court,
Un mois en ta presence n'est qu'un jour,
Le temps s'arrete pour nous, mon amour,
Mais pour le monde il n'arrete pas son cours.

Tu rythme mes saisons et mes heures,
Toi, mon soleil, Qui se leve emportant mon coeur,
Et qui dans ma vie prend chaque jour plus d'ampleur,
Puis tu disparais, et viennent les pleurs...

Deuxième poeme qui t'est destiné,
Un petit ecrit pour t'offrir mes pensées,
C'est avec toi que mon coeur s'est reveillé,
Et avec toi que j'oublie le passé.

Si je pouvais te dire combien je tiens a toi,
Tu reculerais, prendrais peur et ne me croirai pas.

Si je pouvais te dire combien je t'aime,
Que de ces quelques mots que je seme,
L'un touche ton coeur, et l'autre ton esprit,
Tous deux te menant a moi qui de toi s'est epris.

Si je pouvais t'offrir quelques rayons de soleil,
Quelques etoiles, de l'or et du miel,
Qui tous vers moi t'attirerais,
Si je pouvais...Si je pouvais...

"Je t'aime" est tellement absurde et depassé,
Pour te prouver mon amour et temmener,
Quelques lignes valent mieux que deux mots,
Et un poeme n'est pas de trop.

Je t'offre mes journées, mes pensées et mon esprit,
Et si je pouvais ce serais mes nuits,
Tout deux ensembles reunis,
Pour l'amour , l'eternité et la vie.

Je sens en moi la solitude qui se meure,
Chaque pas de plus vers sa fin et un battement de coeur,
Au dehors le temps s'est arrété,
Pour une fois je vais pouvoir respirer,
L'amour  ma delier les poumons,
et libéré en moi l'elan d'un forte passion...

L'ombre a disparu a l'horizon,
il ne reste plus qu'un ou deux nuages sans raison,
Le souffle de l'amour a rendu a ma vie son eclat,
puisque aujourd'hui je marche a ton bras,
Heureux comme aux temps passé,
Riant au souvenirs d'une solitude deja oubliée...

Pourtant dans mon ame sonnent les cloches de la douleur,
Dans tout mon corps elle resonnent, son de la peur,
Pour un etre que pour l'amour j'ai ecarté,
Malgre tout elle reside toujours dans mon coeur et mes pensées,
J'aimerai qu'elle le sache et qu'elle ne l'oublie pas,
Car sinon je ne me le pardonnerai pas.

D'un coté j'ai un amour envoutant et declaré,
De l'autre une amie de laquelle je ne veut me separer ,
Puissent Dieu faire que auprès de moi les deux restent...

Lorsque sur mon coeur tombent les larmes du ciel,
Lorsque le jour point sous la mer des nuages noirs,
Quand L'obscurité de la nuit ne donne naissance qu'a une aube partielle,
Et que des esprits plus rien ne porte le nom d'Espoir.

L'amertume aura remplacé les fleurs d'amour qui poussait ici et la bas,
L'eau des ruisseaux rougira de honte et s'empourprera de sang humain,
Laissant comprendre ce qui c'est passé ici bas,
La naissance, L'apogée d'un peuple qui s'est maintenant eteint.

La mort est dans mes pensées, dans mon corps dans mes veines,
Elle hante mes nuits, mes reves et mes ecrits,
Est ce un avant gout de ce futur que je decris?
Ou bien juste le fruit d'une education malsaine ?

Tremblons devant le massacre que nous faisons de nos vies,
Car de nous un jour,il ne restera que quelques carcasses etalées la ou ici...