Sombre Lueur

Shadedly

26-02-04 à 23:41

Je ne suis pas fiere mais la traduction est possible en ces lieux ???

:))))

Sinon je prends mon traducteur mais bien sur ça sera sans tes emotions et ça serait domage non??

;)

BzOu'x

bonsoir !

Lueur

26-02-04 à 23:54

bon d'accord je met la traductio, mais ca perd de son effet !

fatigué d'exister, j'aimerais ne jamais etre né,
fatigué de suivre le mouvement,avoir envie de s'arreter au tournant,
Lassé de vivre, ne plus vouloir poursuivre,
Lassé de ma vie, dont chaque pas est un pas vers l'ennui,
attristé de ce monde tout autour, de ce monde parfois sans amour
attristé de ce sombre paysage, de cette horrible image,
grisée par le mensonge, qui ne s'efface que dans mes reves,
Grisé d'une nuit sans jour, d'une obscurité eternelle,
mon ame est mortifiée a la vue de la realité,
comment est ce possible ? est ce mon monde ?
Ma vie est tellement banale, et inutile,
tout m'invite a la quitter.

voila !

Re: bonsoir !

Shadedly

27-02-04 à 00:05

Evidemment je ne peux pas faire de comparaison, mais tes écrits sont fort et je ressens également ces émotions qui te bousculent, ton texte ne perd rien surtout pas sa sensibilité ;)

BzOu'x douce nuit, que tes rêves t'emmenent là oû les jours t'emprisonnent...

:)

Don't give up! (Peter Gabriel - So)

PetitRenard

27-02-04 à 01:05

in this proud land we grew up strong
we were wanted all along
I was taught to fight, taught to win
I never thought I could fail

no fight left or so it seems
I am a man whose dreams have all deserted
I've changed my face, I've changed my name
but no one wants you when you lose

don't give up
'cos you have friends
don't give up
you're not beaten yet
don't give up
I know you can make it good

though I saw it all around
never thought I could be affected
thought that we'd be the last to go
it is so strange the way things turn

drove the night toward my home
the place that I was born, on the lakeside
as daylight broke, I saw the earth
the trees had burned down to the ground
don't give up
you still have us
don't give up
we don't need much of anything
don't give up
'cause somewhere there's a place
where we belong

rest your head
you worry too much
it's going to be alright
when times get rough
you can fall back on us
don't give up
please don't give up

'got to walk out of here
I can't take anymore
going to stand on that bridge
keep my eyes down below
whatever may come
and whatever may go
that river's flowing
that river's flowing

moved on to another town
tried hard to settle down
for every job, so many men
so many men no-one needs

don't give up
'cause you have friends
don't give up
you're not the only one
don't give up
no reason to be ashamed
don't give up
you still have us
don't give up now
we're proud of who you are
don't give up
you know it's never been easy
don't give up
'cause I believe there's the a place
there's a place where we belong.

oh captain my captain !

Lueur

27-02-04 à 11:19

Merci j'espere avoir tout compris... c beau... en plus, jai adore "the dead poets society", 2 mots suffisent, "CARPE DIEM".

gribouillon

27-02-04 à 19:34

Eh bien ma tite Lueur...quel texte rempli de tristesse...
Je serais là pour toi mon ti nounours si tu en as besoin...
Jtembrasse fort,
Ta tite souris

Songe

01-03-04 à 11:16

Après le commentaire de Petit Renard j'ai choisi de m'en tenir au verbe de Molière afin de m'éviter une maladresse syntaxique qui serait bien malvenue sous un texte comme celui-ci où le fond prédomine de loin sur la forme, où la langue première est celle d'un sentiment et non d'un pays ou encore d'une culture en particulier. Et comme le dit Shade, quelle que soit la langue dans laquelle tu déclines ton sentiment, c'est l'émotion de celui-ci qui importe avant tout ...

Il est ce moment où on jette un regard en arrière et il nous semble distinguer une loi de récurrence qui nous amène inévitablement à reproduire l'hier dans la vision du lendemain ... mais s'il semble y avoir ces constances, il est néanmoins une inconnue précieuse qui laisse chaque jour à venir susceptible de radicalement changer ... cette inconnue c'est autrui, c'est ces sourires à nuls autres pareils, c'est ces attentions et ces présences qui font exception, cette singularité qui séduit, attache, ravit ...

Lueur, longtemps cet autre s'est tenu loin de moi, longtemps même sa proximité (et souvent aujourd'hui encore) m'a laissé plus seul auprès de lui que reclus ... parce que je suis justement autre, parce que je me sens profondément différent, étranger ... séduit autant que repoussé, intégré autant qu'exclu ... la masse des autres semble uniforme et ceux qui nous entourent semblent s'y fondre mais il est des jours où ils s'en détâchent et nous surprennent, nous déroutent, nous attirent. C'est un constant déchirement entre le sens qui s'évide avec la répétition et l'enthousiasme, la vitalité qui se reflète dans le regard de l'autre et nous gagne.

 "everything invites me to leave her"

Sauf peut-être cette inconnue qui brille dans le regard de tes amies, cette altérité qui donne du sel à un met commun et fade ...

Bises

Songe

Re: merci du commentaire...

Lueur

04-03-04 à 22:13

µEn ce moment tout va mal, ma vie se repete, les jours se ressemblent.... je ne vis que la vie de lado type. les problms de groupes me soulent, la vie en communauté me repousse peu a peu ...