Envie...
Vous est il deja arrivé qu'en un instant une envie folle vous prenne ? du moins celle de prendre quelqu'un dans vos bras et lui dire que vous l'aimez ? aujourd'hui je croi que j'ai appris ce que signifiai le mot beosoin. une envie profonde, meme viscerale, elle m'a pris au depourvu. mes sentiments eux aussi ont fait un saut dans mon coeur, passant d'un stade endormi a un stade superactif. meme pas l'ombre d'un doute juste l'envie, les larmes aux yeux, l'envie de prendre cette fille dans mes bras et de la serrer contre moi pour lui redonner le sourire, la rendre heureuse, effleurer ses levres, la tenir contre moi me blottir contre elle et de plonger dans ses cheveux. Une pulsion mais pas hormonale, ni un reflexe peut etre un peu corporelle mais pas vraiment, juste l'envie de remmettre un sourire sur son visage et de sentir sa chaleur pres de moi. je ne savais que faire, je me suis maitrisé, failli pleurer presque me suicider lorsque j'ai compris qu'il ne m'etait pas posible de faire comme bon me semblait. Comment expliuer cette envie d'une fille ? peut etre suis je amoureux, et pourtant je ne le pense pas, deja hier jai eu des envies, et mon esprit a deriver, mais aujourdhui c'etait violent, j'ai eu la gorge nouée, par ma retenue, je ne voulai pas atteindre ce doux minois et pourtant en meme temps, je ne pouvai m'empecher de ressentir le besoin de la prendre contre moi... drole de sensation, agreable o debut, mais qui vire au cauchemard lorsque je me suis rendu compte quil etait impossible qu'un jour il existe un lien entre nous. Vraiment, la vie me joue des tours, ou est ce l'adolescence ? pourtant je suis sur que ce n'etait pas hormonal, vraiment l'envie de rendre heureux, envahi d'une compassion sans borne, d'un amour profond. Deja ce soir l'envie a disparue, laissant place au doute. hier j'ai ecri ce texte, pensant a cette personne je pense enfin je ne suis pas sur.
"Le contact soyeux de ses cheveux sur mes mains provoque en moi un frisson , laissant parcourir en moi le long courant du plaisir. Ses levres mi ouvertes laissent entrer en moi la vie, l’essence meme du bohneur. Le feu de ses yeux est divin et malgre l’obscurité je devine sans peine ses prunelles etoilées. La nuit nous appartient, le temps nous accorde une pause, et fait de cettte nuit une eternité. Dans la semi obscurité, je devine ses formes gracieuses, douces au touché et dont chaque effleurement laisse s’echapper un soupir de ses levres. Ensemble nous annihilons la notion de mahleur, de mort et d’horreur, seul la clarté magnifique de l’amour nous entoure. D’un monde autrefois effrayant nous avons créé ce royaume charmant, laissant a l’humanité un gout de plaisir sacré. "
je dois etre en manque , en manque de ce contact doux et envoutant que seul l'amour sait donner. que faire ?
Ecrit par Lueur, le Mercredi 11 Février 2004, 21:32 dans la rubrique "Premiers Pas".