Sombre Lueur

des reves, que des reves ..

Ma douce, je reve de toi sans cesse,
Loin d'etre effacée,
toute ta tendresse ,
en moi est ancrée.

Le temps ne s'arrete pas mon amour,
pourtant certaine bribes du passé,
restent dans les memoires pour toujours,
la tienne est restée.

Quelle joie, quel bohneur,
lorsque ton souvenir me revient
croyant que je me meurt,
alors je prend ta main.

je me langui du passé; ma belle
rien ne reussi a me satisfaire,
je demande maintenant o ciel,
ce que je dois faire,
La mort, la vie,
plus rien ne m'est permis,
pourtant ton visage sans cesse me revient,

Derriere ces sublimes cils d'une rare finesse et noir comme l'ebene,
deux oceans d'une eau de saphir,
refletent l'eclat lointain d'une etoile, un ouragan de feu,
a faire rougir dieu.

helas il est l'heure,
il faut se reveiller,
et quitter ce doux bohneur,
pour partir et travailler.

ce qui est perdu peut il etre retrouvé ?
ce qui en moi brulait,
s'est il a jamais egaré ?
que dire a part qu'avant je vivais?

mon existence ne rime plus a rien,
et j'avou je ne sais pas,
si ces souvenirs dont je me souvient,
ont reelement existé ou pas.

je taime...

Ecrit par Lueur, le Dimanche 11 Janvier 2004, 20:58 dans la rubrique "Premiers Pas".

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